Cancer du rein

Le cancer du rein constitue 2 à 3 % des tumeurs malignes chez les adultes. 

Il est deux fois plus fréquent chez les hommes que chez les femmes, et la plupart des cas sont diagnostiqués entre la quatrième et la sixième décennie de vie. Concernant les facteurs de risque, on pointe le tabac, l’exposition à certains produits chimiques, l’obésité, l’usage excessif d’analgésiques ou la maladie kystique rénale acquise par des patients en dialyses chroniques.  

Au-dessus de la maladie, il y a toujours le patient. Ses inquiétudes, ses doutes, ses peurs… À Onkologikoa, notre vision est très claire. C’est pourquoi, en cas de traitement d’un type de cancer, comme celui du rein, nous mettons à votre disposition une équipe professionnelle spécialisée dans cette maladie, dotée de la technologie la plus moderne.

Information d'interets

AEU

EAU

American Urological Association

NCCN

Instituto Nacional del Cáncer

Ou appelez-nous 0034943328000

Traitements pour ce cancer

Chirurgie

Une intervention chirurgicale consistant en l’ablation d'une partie ou de la totalité du rein peut être réalisée. D’autres traitements alternatifs peuvent également être utilisés, comme l’embolisation artérielle, la cryoablation, l’ablation par radiofréquence ou la néphrectomie.

Traitement médical ou systémique

Lorsqu’il s'agit d'un cancer rénal avancé, la chirurgie n’est pas curative et, par conséquent, un traitement avec des médicaments qui agissent globalement et atteignent tous les organes du corps est recommandé.

Thérapie ciblée

La thérapie ciblée utilise des médicaments et d'autres substances qui peuvent identifier et éliminer des cellules cancéreuses sans endommager les cellules normales. Ils ne guérissent pas la maladie, mais dans la plupart des cas, ils empêchent sa progression, ou permettent sa rémission.

Immunothérapie actuelle

Nivolumab est un médicament qui inhibe le mécanisme par lequel les tumeurs se « cachent » au système immunitaire, facilitant ainsi son action contre les cellules tumorales. Il est administré en seconde ligne, après l’échec d'une première thérapie ciblée, où l’on a constaté un bénéfice en termes de survie.